lundi 29 décembre 2008

De quoi le féminisme est il le nom?




D'une idéologie tellement obsédé par l'égalisation (l'indifférenciation comme seul vrai moyen de parvenir à l'égalité parfaite) qu'elle est en lutte contre la réalité!

Voici les extraits de la plus savoureuse des retransmissions de notre polit-buro
http://ce-soir-ou-jamais.france3.fr/index-fr.php?page=emission&id_rubrique=446#

Bien sur, tous les invités sont des féministes pures et dures, il n'y a pas même une féministe hétérodoxe dans le style d'Elisabeth Badinter, quant à parler de Zemmour ou Soral...
Là pour le coup il n'y a vraiment pas de vis à vis.

2 exemples de cette lutte contre la réalité:
1) l'égalité salariale.
Nul mot bien sur, sur la difficulté de comparer dans une société essentiellement tertiaire où chaque carrière est unique et ou les salaires sont plus issu de cette trajectoire personnelle que de négociation collective.
Un aveu: la différence salariale provient du fait que l'entreprise exige une performance individuelle, et que sur ce point les femmes sont handicapées par leur vie familiale.
Autrement dit: On reconnait que l'inégalité est fondée non sur une discrimination illégitime mais sur un critère objectif et logique en économie de marché. Mais c'est une inégalité alors il faut l'interdire et la punir légalement, plutôt que de donner aux femmes des compensations pour pouvoir mener une carrière acceptable sans trop souffrir de leur moindres performances objectives tout en pouvant s'occuper de leur famille. Non c'est trop pragmatique, et ce serait reconnaitre que ce sont avant tout les femmes qui s'occupent de la famille et en prendre acte, plutôt que de vouloir changer ce fait.

2) La question de la maternité.
Prenons les réactions de Gisèle Halimi (qui n'a eu qu'un enfant) et d'une de ces disciples, une certaine Violène Lucas.
Gisèle lorsqu'elle évoque la question de l'avortement parlera 1° de la fatalité ("mon corps m'a trahi") 2° d'une malédiction (d'autre aurait parlé de miracle de la vie) et 3° ensuite lorsqu'est évoqué l'idée d'un salaire maternelle la disciple dira que cela ne saurait être envisagé car laissé la possibilité (littéralement le choix) au femme d'être au foyer c'est les aliénés.

-Donc l'enfantement est une malédiction.
-L'idée d'être mère, même libre des modalités de cette maternité (si je veux et quand je veux, et avec ou sans nounous etc...) est une aliénation. En somme c'est "un enfant si je veux quand je veux, mais je n’ai pas intérêt à en vouloir sinon je suis une traitresse à la cause des femmes".
-Et la N°2 qui est ma préféré: mon corps m'a trahi, je suis enceinte par le fruit du hasard. Le féminisme a réussi à nier ce qu'instinctivement l'humanité sait depuis 10 000 ans, et scientifiquement ce que nous expliquons parfaitement depuis 2 siècle: le lien entre la sexualité et la procréation.
C'est la seule femme qui a réussi à réhabiliter l'idée que la grossesse ne pouvait être que l'oeuvre du Saint Esprit, autrement dit en termes moderne: du hasard.
Encore une qui a dut faire des chapelets devant les salles de cinéma lors de la sortie du "Da Vinci Code".

Autre hypothèse, cette femme n'est pas aveuglée par une idéologie, peut être qu'elle est juste conne et que cela est caché par sa médiatisation. Ce n'est qu'une hypothèse bien entendu.

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