L'affaire Julien Dray, révélée la semaine dernière et dont l'enquête ne fait vraissemblablement que commencer a déjà un mérite : elle a permis aux naïfs de mon espèce d'avoir une preuve de plus du caractère mafieux de « SOS Racisme ». S'il y a des parrains, c'est bien qu'il y a une mafia derrière ?
Et dire qu'il y a encore du monde pour financer ce genre d'organisation... Qui peut croire qu'en alimentant ce genre de mafia on n'est pas contre-productif ? Depuis plus de 20 ans SOS racisme ne fait qu'éxacerber les communautarismes en mettant face à face les minorités opprimés et des oppresseurs appartenant à une soit-disant majorité...
On risque pourtant de se payer un des anciens présidents de ce groupuscule fournisseur officiel du PS (en matière de bonne conscience...) - Malek Boutih – à l'occasion d'un prochain remaniement gouvernemental ou d'une prochaine nomination à un poste « influent » (l'intéressé se verrait bien à la Halde ce qui me fait dire qu'on n'est pas rendu).
Au fait, vous avez vu quelqu'un de SOS Racisme dire, alors que Julien Dray est au centre de la mêlée, « touche pas à mon pote » ?
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tu sais bien ce que Jean Baudrillard avait relevé; qu’il existait SOS Baleines et SOS Racisme : les premiers voulaient sauver les baleines ; et les seconds, les racistes.
RépondreSupprimerJe connais évidemment ce qui n'est qu'une vérité... si on considère que les racistes sont ceux qui établissent une hiérarchie entre les races. Sauf qu'on a eu la preuve dernièrement qu'aujourd'hui les racistes incluaient aussi ceux qui ne niaient pas l'existence de races différentes. A notre époque où les communautarismes sont exacerbés, ce serait faire oeuvre de salut public que de ne plus nier certaines réalités pour mieux les appréhender...
RépondreSupprimerTu prèches à un converti camarade!
RépondreSupprimerToujours constater les faits avant de leur donner de la valeur.
Ici on donne une portée idéologique telle au mot race, que sous ce poid celui ne peut plus avoir aucun sens factuel. Il faudrait qu'on ramène des gauchistes ici, parce qu'on est trop d'accord (sauf à la rigueur sur la religion).