samedi 12 septembre 2009
Les idées...
Jean François Copé veut que les Français apprennent l'Arabe
envoyé par zaxx. - Regardez les dernières vidéos d'actu.
Je me rappel d'un article écrit, je crois, par FromagePlus, où il faisait remarquer que le malheur venait du fait que les hommes politiques avaient des idées. Au lieu de s'arrêter quand ils sont vieux ou quand ils n'ont plus d'idées, ils devraient s'arrêter quand ils en ont. C'est exactement à cette idée que me fait penser cette vidéo de JF Copé. Quelle conception idéologique, doctrinale ou quelle système de valeur lui a inspiré cette idée? Aucun! Manifestement ce type sort cela parce qu'il fallait trouver quelque chose et il justifie ex-post par un gloubiboulga sur le pragmatisme de se servir des origines de nos immigrés pour faire du commerce avec les autres arabes.
Franchement est-ce qu'il ne faudrait pas d'abord se préoccuper de leur apprendre VRAIMENT la langue de leur nouveau pays (ndlr: le français) et de les intégrer dans le système économique du pays en question avant de se préoccuper de faire vendre des rafales à des bédouins par des analphabètes?
Copé réussi donc la prouesse en une phrase à nous démontrer 1° qu'il ne sait pas ce qu'est une nation (ennuyeux pour un type "de droite") 2° que l'ENA n'explique toujours pas les bases de l'économie et du bon sens à ceux qui y ont étudié.
Bref, je sais désormais pour qui je ne voterai pas en 2017.
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Ramer derrière la bienpensance : voilà à peu près à quoi se résume la droite aujourd'hui.
RépondreSupprimerConcernant le cas de Copé je ne crois pas qu'il rame derrière la bienpensance, je pense qu'il derrière la pensée. Comme il n'a aucune conviction, aucune valeur particulière il cherche des idées. Et il en trouve parfois par hasard, bien entendu elles sont rarement bonne.
RépondreSupprimerVotre jugement est beaucoup plus pertinent concernant Sarko, et comme finalement la droite aujourd'hui se résume à Sarko, de fait vous avez raison la droite est complexé de ne pas être de gauche (mais personne ne les retient de passer dans le camp du bien).