
Je publie ici une réponse à certains commentaires à un de mes vieux articles que j’ai découvert récemment. J’y réponds parce que c’est mon devoir de blogueur et qu’en tant que sénateur je suis profondément oisif.
Voici l’article :
http://flavius-aetius.blogspot.com/2009/01/le-pederaste-en-charge-des-relations.html
Ainsi qu’un autre sur le même personnage :
http://flavius-aetius.blogspot.com/2009/03/tout-le-portrait-de-son-ame.html
http://flavius-aetius.blogspot.com/2009/03/tout-le-portrait-de-son-ame.html
Voici les commentaires :
« Anonyme a dit…
Bravo, superbe démonstration d'homophobie, ce billet. Félicitations : en matière d'ouverture d'esprit sur le sujet de l'homosexualité, vous venez de nous prouver votre siècle de retard (et encore, je suis gentil). Ne plus être un fervent défenseur de l'idée d'éradiquer ou de foutre en cage les marginaux n'est pas suffisant pour que cela devienne une posture tenable.
Je vous fais l'honneur (que vous ne méritez pas) de revenir 5 minutes sur les énormités que vous proférez :
1/ c'est sans doute très amusant pour vous de tenter de rapprocher le fait de se réjouir d'avoir provoqué la mort de 3 000 personnes et celui de se réjouir de se sentir libre dans un pays libre de pouvoir vivre son bonheur matrimonial au grand jour, quand bien même il serait un peu différent de celui de la multitude, mais si vous pensez convaincre quiconque à part vous-même de la pertinence d'un rapprochement aussi grotesque, vous êtes émouvant de naïveté. Le bonheur qu'éprouve Robert Karoutchi n'affecte en rien ou presque le déroulement de la vie de quiconque : il est pédé et heureux, et il le dit brièvement, point à la ligne. Il n'a offensé ni blessé personne. Il fait même mieux que ça : il se réjouit du bonheur que lui procure la présence d'un autre être humain. Le bonheur de Ben Laden passe par la destruction directe de la vie de 3 000 êtres humains, par la mutilation physique et/ou psychique de milliers d'autres. Tenter de faire un quelconque rapprochement entre les licences morales de ces deux manifestations de la satisfaction et du bonheur relève du terrorisme intellectuel, du grotesque le plus absurde, et de la mauvaise foi poussée à son paroxysme.
2/ et 3/ : oooh le joli tour de passe-passe rhétorique ! Ça alors : les homosexuels nous parlent de leur homosexualité, alors que nous autres bons hétéros ne nous sentons jamais la nécessité de le faire ! Mais pourquoi diable s'acharnent-ils donc ?
A noter aussi que dans votre 3/ vous tentez vainement de nous faire confondre le fait de « parler de son orientation sexuelle et de sa réalisation pratique sur le plan matrimonial », ce que M. Karoutchi fait, et le fait de « parler de sa vie sexuelle », c'est à dire comme vous le dîtes si poétiquement mentionner son amour pour la fellation ou la levrette, ce que, et ça n'aura échappé qu'à vous, M. Karoutchi n'a en AUCUN CAS fait dans sa déclaration sur le bonheur que lui procure son conjoint !! Il nous aurait dit « je me fais enculer tous les soirs et j'aime ça ! », vous auriez été fondé à contester l'opportunité de communiquer une information de ce genre. Nous sommes à un million d'années-lumières de ce que vous insinuez. Parler de sa vie amoureuse et parler de cul n'est pas franchement la même chose, on dirait que ça vous a complètement échappé, à moins que pour vous toute relation amoureuse se résume à des pipes et des tentatives ratées de sodomie... »
Et
« Anonyme a dit…
Suite du commentaire précédent :
Pour en revenir à votre petite stratégie rhétorique grosse comme une maison, vous commettez un syllogisme parfaitement débile, dont la solution est déjà contenue dans sa simple énonciation. Pourquoi les personnes homosexuelles nous parlent-elles de leur orientation sexuelle alors qu'il est connu que ce sujet en irrite plus d'un ? Justement parce-que leurs préférences et le droit de les exercer librement font encore aujourd'hui l'objet d'une réprobation forcenée, votre petit billet merdique et haineux en étant une preuve assez indiscutable (mais vous n'êtes pas le pire dans votre genre, je vous l'accorde. Allez en paix heureux avec cette certitude). Robert Karoutchi ne fait que nous annoncer qu'il est en couple, que ça le rend heureux et qu'il entend ne pas s'en cacher (idem : entre « ne pas s'en cacher » et « le clamer à la terre entière coûte que coûte », vous semblez ne pas comprendre la différence). Dans un monde tolérant envers les homosexuels, cette déclaration devrait être reçue dans une bienveillante indifférence. Mais il y a des cons comme vous pour pondre un petit billet fielleux dans lequel ils expriment leur vif agacement. Ce simple bonheur inoffensif suscite chez vous une urticante réaction de rejet, vous le voyez bien ; et encore : gageons que de la part des tarés psychorigides à l'aile droite de sa majorité (j'ai notamment une pensée émue pour MM. Vanneste et Longuet, respectivement députés et sénateurs UMP ouvertement homophobes), le secrétaire d'état aux relations avec le Parlement a dû se prendre bien pire dans la figure comme commentaire blessant que vos petites vues mesquines bourrées de fautes d'orthographes. Dès lors, c'est bien le signe qu'en France, un effort de banalisation des unions homosexuelles est nécessaire, afin que chaque citoyen prenne la mesure du fait que l'homosexualité peut être une déclinaison de l'amour humain tout aussi louable, respectable et bénéfique que ne l'est l'hétérosexualité. Et pour cela, il faudra que des personnes courageuses telles M. Karoutchi sachent prendre le risque de brièvement (car il s'agit sans nul doute d'une déclaration qui a dû lui coûter 10 mn de son précieux emploi du temps de secrétaire d'état : la France devrait s'en remettre) évoquer le bonheur qu'ils ont su trouver dans cette modalité qui est la leur et qui s'est imposée à eux-même par la force des choses (car, je vous le donne en mille : non, on ne devient pas pédé pour le plaisir de faire de la peine à sa mère !).
Donc oui : il y a au contraire une réelle nécessité et un authentique mérite à mentionner explicitement cet état de fait l'espace d'une courte déclaration. On ne sait pas davantage si M. Karoutchi est actif ou passif, ou s'il utilise du gel DUREX ou INTIMY, on sait seulement qu'il aime un homme et que cela le rend heureux. Nous pouvons souffrir cet aveu l'espace d'un instant, la décence et la vertu sont sauves.
Et cela tombe sous le sens a contrario que les hétérosexuels ne mentionnent pas plus que cela leur orientation : jusqu'à présent, fort peu d'abrutis du bulbe ont eu l'idée d'insinuer que l'hétérosexualité est chose honteuse, qu'il faut cacher à tout prix, parce-que de Grâce !!, ça ne nous regarde pas et on s'en fiche et c'est contre-nature et God hates straight people ! Et quand bien même un(e) politique français(e) nous annoncerait qu'il a trouvé un(e) conjoint(e) aimant(e), que cela lui apporte bonheur et sérénité dans ses fonctions, nous pourrions accueillir avec bienveillance une courte déclaration de ce genre, qui ne ferait jamais que nous rappeler le bien que ça peut faire et la force que cela procure d'être heureux en couple.
Je vous plains sincèrement, mais je suis consolé de ma peine car je sais que dans votre idiotie et votre petit fiel misérable, la charge de la solitude vous sera épargnée.
Vous ne valez pas franchement la peine que je signe de mon nom. »
Et voici ma réponse aux commentaires :
Bon je vais considérer qu’il y a 3 anonyme et je leur répondrai successivement, avec un sérieux égal à la quantité tartinée (le premier commentaire est plus long que l’article alors soit votre démonstration est laborieuse, soit vous parlez de choses que je n’évoque pas dans mon article… peut-être les deux ?).
Suite du commentaire précédent :
Pour en revenir à votre petite stratégie rhétorique grosse comme une maison, vous commettez un syllogisme parfaitement débile, dont la solution est déjà contenue dans sa simple énonciation. Pourquoi les personnes homosexuelles nous parlent-elles de leur orientation sexuelle alors qu'il est connu que ce sujet en irrite plus d'un ? Justement parce-que leurs préférences et le droit de les exercer librement font encore aujourd'hui l'objet d'une réprobation forcenée, votre petit billet merdique et haineux en étant une preuve assez indiscutable (mais vous n'êtes pas le pire dans votre genre, je vous l'accorde. Allez en paix heureux avec cette certitude). Robert Karoutchi ne fait que nous annoncer qu'il est en couple, que ça le rend heureux et qu'il entend ne pas s'en cacher (idem : entre « ne pas s'en cacher » et « le clamer à la terre entière coûte que coûte », vous semblez ne pas comprendre la différence). Dans un monde tolérant envers les homosexuels, cette déclaration devrait être reçue dans une bienveillante indifférence. Mais il y a des cons comme vous pour pondre un petit billet fielleux dans lequel ils expriment leur vif agacement. Ce simple bonheur inoffensif suscite chez vous une urticante réaction de rejet, vous le voyez bien ; et encore : gageons que de la part des tarés psychorigides à l'aile droite de sa majorité (j'ai notamment une pensée émue pour MM. Vanneste et Longuet, respectivement députés et sénateurs UMP ouvertement homophobes), le secrétaire d'état aux relations avec le Parlement a dû se prendre bien pire dans la figure comme commentaire blessant que vos petites vues mesquines bourrées de fautes d'orthographes. Dès lors, c'est bien le signe qu'en France, un effort de banalisation des unions homosexuelles est nécessaire, afin que chaque citoyen prenne la mesure du fait que l'homosexualité peut être une déclinaison de l'amour humain tout aussi louable, respectable et bénéfique que ne l'est l'hétérosexualité. Et pour cela, il faudra que des personnes courageuses telles M. Karoutchi sachent prendre le risque de brièvement (car il s'agit sans nul doute d'une déclaration qui a dû lui coûter 10 mn de son précieux emploi du temps de secrétaire d'état : la France devrait s'en remettre) évoquer le bonheur qu'ils ont su trouver dans cette modalité qui est la leur et qui s'est imposée à eux-même par la force des choses (car, je vous le donne en mille : non, on ne devient pas pédé pour le plaisir de faire de la peine à sa mère !).
Donc oui : il y a au contraire une réelle nécessité et un authentique mérite à mentionner explicitement cet état de fait l'espace d'une courte déclaration. On ne sait pas davantage si M. Karoutchi est actif ou passif, ou s'il utilise du gel DUREX ou INTIMY, on sait seulement qu'il aime un homme et que cela le rend heureux. Nous pouvons souffrir cet aveu l'espace d'un instant, la décence et la vertu sont sauves.
Et cela tombe sous le sens a contrario que les hétérosexuels ne mentionnent pas plus que cela leur orientation : jusqu'à présent, fort peu d'abrutis du bulbe ont eu l'idée d'insinuer que l'hétérosexualité est chose honteuse, qu'il faut cacher à tout prix, parce-que de Grâce !!, ça ne nous regarde pas et on s'en fiche et c'est contre-nature et God hates straight people ! Et quand bien même un(e) politique français(e) nous annoncerait qu'il a trouvé un(e) conjoint(e) aimant(e), que cela lui apporte bonheur et sérénité dans ses fonctions, nous pourrions accueillir avec bienveillance une courte déclaration de ce genre, qui ne ferait jamais que nous rappeler le bien que ça peut faire et la force que cela procure d'être heureux en couple.
Je vous plains sincèrement, mais je suis consolé de ma peine car je sais que dans votre idiotie et votre petit fiel misérable, la charge de la solitude vous sera épargnée.
Vous ne valez pas franchement la peine que je signe de mon nom. »
Et voici ma réponse aux commentaires :
Bon je vais considérer qu’il y a 3 anonyme et je leur répondrai successivement, avec un sérieux égal à la quantité tartinée (le premier commentaire est plus long que l’article alors soit votre démonstration est laborieuse, soit vous parlez de choses que je n’évoque pas dans mon article… peut-être les deux ?).
@ Anonyme 1 :
Je ne sais pas ce que vous voulez dire par homophobie. Que je n’aime pas les pédés ? Ce n’est pas le cas. Que je désapprouve l’homosexualité ? Pas sur le plan moral en tous cas, mais si c’est cela l’homophobie, primo cela empêche toute réflexion sur un comportement ce qui est plutôt absurde, secundo je vous informe que 100 % des hommes hétérosexuels le sont d’une manière ou d’une autre dans ce cas.
J’ignore complètement aussi, ce que vous voulez dire par ouverture d’esprit. Vu le contexte de l’expression j’en déduis que cela signifie que je ne suis pas d’accord avec vous, le sens de l’expression serait donc « prêt à adopter mon point de vue », bref ne pas avoir une opinion bien ferme.
De même je ne juge pas la valeur d’une idée en fonction de sa date de naissance ; Platon a vécu il y a presque 2500 ans, des dizaines de milliards d’hommes vécurent depuis et pourtant on a guère produit que 10 cerveaux qui lui arrivent péniblement à la cheville. Donc l’expression siècle de retard est simplement idiote.
En outre vous remarqueriez peut-être si vous vous en teniez à mon texte que je n’émets aucun jugement sur l’homosexualité ; en dehors du titre qui est un peu violent, mais je reconnais que l’injure visait Roger Karoutchi personnellement et non l’homosexuel en lui. Je cite 3 idées.
1) Le bonheur de l’auteur d’un acte ne légitime pas nécessairement l’acte.
2) Ce n’est pas le rôle d’un secrétaire d’état de faire ce genre de déclaration.
3) Le coming-out est une pratique strictement homosexuelle qui démontre un besoin de s’afficher significatif, donc je ne donne pas ici d’interprétation, sinon que cela illustre une différence entre les homos et les hétéros.
Ainsi le dernier commentateur, un peu moins attardé ou émotif (l’émotion fait souvent comprendre de travers) aura compris qu’en 1) je ne comparais pas Ben Laden à un pédé, vu que je n’ai aucun envie de risquer ma peau ; je faisais simplement une démonstration par l’extrême de l’absurdité de l’argument « s’il est heureux ? ». Rien de plus.
Roger Karoutchi n’avait pas à parler de son homosexualité car ce n’est pas de la politique. La politique c’est l’action au nom de tous ; l’application de solution en faveur de l’intérêt général. En revanche quand Karoutchi nous parle de son « bonheur » il fait :
-soit de la démagogie pour quémander des voix (c’était l’époque des primaires de l’UMP en Ile de France)
-soit du militantisme communautaire, ce qui est la fin de la politique tel qu’elle se pratique en France depuis le serment du jeu de paume et la dissolution de l’ordre ; c’est tout simplement la fin de la nation républicaine constitué de citoyens égaux et libre, au lieu de cela on passe à l'État communautaire ou chacun est avant tout un « blanc », « homosexuel », « arabe » ou tout ce que vous voulez.
Je vous accorde que mon « 3) » n’est pas le paragraphe le mieux rédiger, mais pour ma défense j’ai essayé de trouver un équivalent hétérosexuel au coming-out ; le fait que j’ai échoué démontre bien la singularité de cette pratique. Mais vous me faites un procès un peu rapide en résumant ma tentative à une réduction de l’homosexualité à la sodomie ; j’ai évoqué toute sorte de pratique qu’un hétéro pourrait revendiqué dont l’une n’est pas strictement sexuelle : l’infidélité. Il faut aussi prendre en compte que si l’homosexualité est réellement un amour comme les autres alors vous devrez me reconnaitre que la seule différence entre l’homosexualité et l’hétérosexualité est : le sexe. D’où la pertinence relative de mon paragraphe.
Au final je dois avouer qu’étant un garçon davantage porté sur la réflexion que sur l’affection je n’aurai rien contre une relation qui se résume à des pipes, mais c’est probablement ma misogynie qui parle…
Je vais essayer de répondre aussi à votre second commentaire.
Pourquoi Karoutchi, ROGER Karoutchi (oui moi je connais son prénom) provoque en moi une vive exécration ?
Parce que c’est un odieux politicard tout simplement, et qu’en nous parlant de ses penchants il se donne le beau rôle pour pas cher ! Moi qui suis réellement un passionné de politique et de ce pays je hais ceux qui se comportent ainsi.
Au final je dois avouer qu’étant un garçon davantage porté sur la réflexion que sur l’affection je n’aurai rien contre une relation qui se résume à des pipes, mais c’est probablement ma misogynie qui parle…
Je vais essayer de répondre aussi à votre second commentaire.
Pourquoi Karoutchi, ROGER Karoutchi (oui moi je connais son prénom) provoque en moi une vive exécration ?
Parce que c’est un odieux politicard tout simplement, et qu’en nous parlant de ses penchants il se donne le beau rôle pour pas cher ! Moi qui suis réellement un passionné de politique et de ce pays je hais ceux qui se comportent ainsi.
J’exècre aussi le lobby homosexuel qu’il flatte. Que les homos veuillent se défendre, cela se comprend. Qu’ils pensent un peu vite que ce qui les rend heureux est bien, je le comprends aussi bien que je trouve que c’est une vision très hédoniste et manquant singulièrement de recul. Mais que désormais qu’ils ne subissent plus la moindre oppression (et ne me faites pas rire : ils ont le droit au pacs, il n’y a pas de répression pénale et les agressions homophobes n’existent qu’en banlieue et même là elles sont rares!) ils se mettent à oppresser le reste de la société en interdisant à des parlementaires de parler (à quoi servent-ils sinon ?) en intentant des procès et en injuriant avec violence la moindre personne tentant un faible début d’analyse comme moi.
Alors je comprends qu’ils aient quelques agacements qui s’ajoutent aux complexes qu’ils ont du fait de leur éducation et de la norme de la majorité qui s’opposent toutes deux à leur singularité, mais ce n’est pas à cause de moi qu’ils sont seules au milieu de la masse ; et ce n’est pas parce que je n’ai pas que des opinions positives sur l’homosexualité que mon point de vue doit être qualifié avec simplisme et brutalité de « phobie ».
On peut par exemple penser qu’en effet l’homosexualité ne provoque pas de préjudices pour autrui et n’est donc pas immorale (c’est mon cas), mais on peut aussi penser qu’un monde homosexuel serait assez insupportable, triste car il signifierai l’ignorance réciproque des deux sexes, on peut aussi considérer que l’homosexualité ressemble doublement à une lâcheté : d’abord celle d’affronter le défi d’être un homme puisqu’on renonce à la quête névrotique qu’est la virilité, et ensuite parce qu’on renonce à l’idée de se confronter à la différence que constitue l’autre sexe.
Bien que je n’aie pas une haute opinion de l’auteur inconnu des deux premiers commentaires, je ne vois en revanche aucun intérêt à répondre aux commentaires suivants ; les deux premiers se résumant par « t’es vilain !!! », mais à la rigueur je préfère être méchant que niai. Le dernier commentaire abonde quant à lui dans mon sens, c’est même le seul à avoir compris comment je parlais de Ben Laden.
Voilà cher lecteur, une autre forme d’écriture, qui je l’espère n’aura pas été trop désagréable. Pour ma défense c’est en faisant à la chaine ce genre de réponse que j’aurai le plus améliorer mon français (c’est dire où j’en étais avant !).